Hier, j’ai lu l’excellent livre de Jean-Paul Jeunet (le cuisinier d’Arbois, pas le réalisateur), dont je vous parlerai très bientôt, et j’ai été pris d’une irréprescible nostalgie gustative arboisienne. Les forêts, les goûts fumés, les légumes, la simplicité érigée en dogme, le plaisir. Cette nostalgie s’est bien vite muée en une envie de titiller mes…